Qui oserait prétendre que nous sommes de doux rêveurs à inciter les auteurs de sharewares à tranformer leur travail en freewares, et les auteurs de freewares à en livrer finalement le code source ? L'abondance des exemples de cette nature prouve le contraire, difficilement balancée par les quelques rares exemples allant dans le sens contraire et qui, en dernière analyse, résultent d'une stratégie qui était d'emblée prévisible.

Si vous connaissez d'autres destins de logiciels qui ont effectué de tels chassés-croisés, n'hésitez pas à nous les faire connaître.